Catégorie : Perturbateurs endocriniens

Le fitness check a été publié en même temps que la communication de la Commission sur une stratégie chimique pour le développement durable , qui reprend un certain nombre de ses principales conclusions.

La stratégie de l’UE sur les produits chimiques pour la durabilité vers un environnement sans toxicité.

Les produits chimiques sont essentiels au bien-être, au niveau de vie élevé et au confort de la société moderne. Ils sont utilisés dans de nombreux secteurs, notamment la santé, l’énergie, la mobilité et le logement.

ECHA / NR / 18/36

Des critères scientifiques ont été convenus pour identifier les perturbateurs endocriniens dans le cadre de la législation de l’UE sur les pesticides et les biocides. Les critères pour les biocides s’appliquent à partir du 7 juin 2018.

L’ objectif de ce site Web est principalement d’informer les parties prenantes de l’état actuel des substances identifiées comme perturbateurs endocriniens (PE) ou en cours d’évaluation pour leurs propriétés de perturbateurs endocriniens dans l’UE.

L’intention de la compilation de ces informations est d’améliorer les connaissances sur les DE, d’accroître la transparence, la cohérence et la cohérence, ainsi que la coordination entre les domaines législatifs. Il est également possible que l’identification et la réglementation de DE supplémentaires soient facilitées par ce référentiel unique d’informations.

La liste d’évaluation des perturbateurs endocriniens (DE) de l’ECHA comprend les substances soumises à une évaluation de l’ED dans le cadre de REACH ou du règlement sur les produits biocides qui ont été soumises pour discussion au groupe d’experts ED de l’ECHA.

Les deux annonces se télescopent. Le gouvernement lance sa deuxième stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens (SNPE 2), au moment où Santé publique France (SPF) publie les résultats de l’étude Esteban sur l’imprégnation aux polluants de la population française.

L’exécutif entend ainsi montrer son volontarisme alors que les résultats de cette étude, qualifiée de « vrai tournant dans les politiques publiques » par Agnès Buzyn, se révèlent alarmants.

Par Le Parisien avec AFP 

Le 10 décembre 2019 à 21h22

L’Assemblée nationale s’est prononcée mardi pour que les fabricants apposent un pictogramme « déconseillé aux femmes enceintes » si leurs produits contiennent des perturbateurs endocriniens présentant des risques pour le développement du bébé.

Les députés ont ajouté les perturbateurs endocriniens à la liste des informations environnementales qui devront être fournies aux consommateurs. Ces informations devraient prendre une forme dématérialisée.

Des traces suspectes ont été relevées dans près des trois quarts des relevés de qualité de l’air effectués en 2017 dans six régions.